Les cuisines et les quartiers des domestiques constituent l’envers du décor. Ici, bien que l’on se trouve dans le même édifice béni par les dieux, bien que les murs soient couverts des mêmes fresques et bien que le sol soit aussi de marbre, l’ambiance est radicalement différente du reste du Temple.
Point d’oraisons, point de prières et point non plus de silence feutré. Tout n’est que cris, chansons paillardes et bonne humeur. D’ailleurs, les révérés frères et sœurs de Paladine ne se risquent guère à poser un pied dans les environs…Ce qui n’empêche pas les lieux d’être toujours plein de monde ! Afin de nourrir l’ensemble du clergé et d’entretenir tout le bâtiment, une véritable armada de domestiques et d’esclaves est à pied d’œuvre dès les premières lueurs de l’aube et même au cœur de la nuit, il y a toujours du mouvement.